François et son vélo électrique urbain

"J’ai tout de suite été conquis, surtout quand j'ai compris que l’agrément du vélo électrique, c’était tout simplement de pouvoir pédaler avec plus de facilité quand on le souhaitait."

François, acteur connu du grand public et dont nous avons modifié l'identité, ne fréquente pas exclusivement les scènes de théâtre et les plateaux de tournage. Il est aussi l’un des nombreux adeptes du vélo électrique, conquis depuis plus de quatre ans maintenant.

C’est un ami qui m'a fait essayer le vélo électrique. J’ai tout de suite été conquis, surtout quand j'ai compris que l’agrément du vélo électrique, c’était tout simplement de pouvoir pédaler avec plus de facilité quand on le souhaitait. Pour moi c’est le choix idéal pour éviter d’arriver au théâtre en nage, continuer à pratiquer une activité physique, et réduire significativement la durée de mes déplacements. En vélo électrique, le temps de trajet est absolument imbattable, et je suis actif physiquement. Rien à voir avec un scooter. Et puis on peut flâner, regarder le paysage, profiter du moment et accéder à des endroits auxquels on n’a pas accès en deux roues motorisé traditionnel. En plus il n’y aucune nuisance pour les autres. Bref, j’adore.

J’ai vraiment un usage pratique du vélo électrique. Je n'ai jamais été un cycliste du dimanche, je ne vais pas faire une balade ou du cyclotourisme. Par contre, comme mode de déplacement, c'est absolument génial. Quand il n'y a pas de circulation, et à Paris on trouve quelques endroits sans voitures, je me fais vraiment plaisir.

Quand je le prête, même si c'est difficile de m’en séparer (sourire), les gens sont surpris et adorent tout de suite. J'ai souvent droit à une panoplie d’onomatopées, de témoignages d'étonnement, de stupéfaction. La plupart du temps, c’est « incroyable », « génial », et souvent les deux. Conséquence : j’ai plein d’amis,
comédiens mais pas que, qui s'y sont mis. Et celui qui m'avait fait découvrir le vélo électrique s’en est racheté un et en a profité pour équiper toute sa famille.

Des avantages et... des avantages : c'est un bénéfice énorme en terme de santé. J'ai fait 4000 kilomètres en deux ans. Ce sont 4000 kilomètres que j'ai parcouru avec mes jambes, pas avec mon poignet droit. Et c’est tellement moins de stress en ville. Même si en vitesse de pointe on va un peu moins vite qu’en scooter, au final on arrive avant parce que l'on a moins de contraintes et surtout, on arrive avec le sourire et sans le stress. Je suis indiscutablement plus en forme depuis que j'ai ce vélo. Même si j'ai toujours fait un peu de sport, la différence, c'est que maintenant, j'en fais quotidiennement. En plus, c'est du sport sans forcer et, à ce qu’il paraît, c'est ce qu'il y a de mieux. C'est bon pour le souffle et je me sens plus en forme. Mieux vaut avoir ce type d'activité modérée plutôt que de forcer comme un malade. La preuve, les golfeurs vivent en moyenne cinq ans de plus que le reste de la population ! Tout le monde se fout de leur gueule alors qu'en réalité c'est l'un des sport les plus sain, un peu comme le vélo électrique (sourire).

Plus d'énergie, moins de Pharmacie ? Clairement, même si j'ai encore des rhumes parfois. Mais ça c'est parce que j'ai des allergies, ça ne compte pas. Ce qui est marrant, en tout cas paradoxal, c'est que je prends beaucoup plus souvent mon vélo électrique que je ne prenais mon vélo traditionnel. Même en prenant en compte l’aide de l’assistance, je suis certain que je fais au total bien plus d’exercice que si je n'avais pas de vélo électrique. Il y a un tas de situations où je n’envisageais pas de prendre mon vélo comme pour les rendez-vous de travail, les courses, où même aller un peu loin chez des amis. Tout ça maintenant, je le fais en vélo, parce qu'il est électrique. C’est vraiment très rare que je ne l'utilise pas. Quand il fait froid ou que le temps n'est pas parfait, je m'adapte, je me couvre. Et puis parfois, je me fais surprendre par la pluie, mais c'est finalement assez rare et pas bien méchant.

    Est-ce que pédaler électrique, c'est tricher ? Avec un copain, il y a quelques temps, on a grimpé le col de Visan en vélo électrique. On était en plein été, et on était habillé simplement, en jean et K-Way pour le sommet. C'était pas le tour de France, juste 17 kms de dénivelé à 12 %. Évidemment on doublait tout le monde. Au début, on essayait d’être polis, on saluait les gens, mais étonnamment, personne ne nous répondait. Donc on a fini par arrêter dire bonjour, et on s’est mis à grimper comme des champions. Ceci dit, des champions modestes, parce qu'on baissait la tête à chaque fois qu'on dépassait quelqu'un. Ce qui était drôle, c'était quand on croisait des gens qui ne comprenaient pas et qui nous lançaient des cris d'admiration. 

    Et la sécurité dans tout ça ? Je me sens beaucoup plus en sécurité qu’en scooter. Les pointes de vitesse sont moins systématiques, on s'arrête plus vite et j'ai l'impression d'avoir davantage de maîtrise. Depuis que je suis tout petit, je sais qu’une roue de voiture stationnée qui bouge est synonyme de danger. L’assistance sert aussi à se sortir de situations délicates beaucoup plus facilement que sur un vélo traditionnel, notamment dans un carrefour.  

     

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